L'avion était trop cher et l'ULM me rendait sceptique. J'ai finalement franchi le pas : ce sera d'abord l'ULM. Découvrez les raisons qui ont guidé mon choix et gagnez le temps qu'il m'a fallu pour me décider pour vous lancer à votre tour !
Entre mon premier vol et aujourd'hui, j'ai effectué 350 heures de vol. Cela reste une expérience très modeste dans l'absolu. Néanmoins, je me suis d'emblée attaché à diversifier au maximum mon apprentissage. J'ai ainsi eu la chance de pouvoir voler dans 5 régions, 12 structures différentes et plusieurs pays. Cela m'a permis de découvrir une quinzaine de types d'appareils et d'apprécier les spécificités du vol de plaine, de montagne et maritime, en espaces non contrôlés et contrôlés, en France et à l'étranger en anglais.
C'est parti pour le début de la formation de pilotage ! Au programme : prise en main de l'ULM multiaxes, séances de maniabilité et découverte de l'espace aérien complexe des Bouches-du-Rhône !
Après une interruption forcée, la formation reprend sur un A22 L2 flambant neuf ! Tours de piste, vols locaux, pannes, avec pour objectif un moment clef dans la progression : le très attendu lâché !
Début des navigations, des vols en campagne, découverte de nouveaux aérodromes et de la circulation aérienne : c'est la dernière ligne droite vers le brevet de pilote d'ULM !
Du brevet à la qualification de l'emport passager, il n'y a qu'un pas : le mûrissement ! C'est le temps de l'expérience et de l'assurance à acquérir avant d'emmener des passagers en vol !
De Quiberon au Mont-Saint-Michel, la Bretagne est décidément un bien bel endroit pour passer son emport passager et partager ses premiers vols en Nynja Skyranger et FK9 !
En Charente-Maritime, j'ai découvert le Savannah sur lequel j'ai eu la chance de pouvoir voler du phare de Châssiron au terrain de Blois en passant par les châteaux de la Loire ! Et quel aéroclub !
C'est dans les Landes que je vais découvrir le vol en montagne et le plaisir de voler jusqu'à 130kt sur un ULM ailes basses aux performances simplement hors-normes : le WT9 Dynamic !
Avec près de 120h sur ULM, je commence à éprouver l'envie d'aller plus loin. Découvrir la radionavigation, la voltige, le vol de nuit... Une seule solution : passer le PPL sur avion !! Et découvrir l'APM 20 Lionceau...
Quatre mois après avoir commencé les vols sur avion et le PPL en poche, il est temps d'entamer la phase de 'mûrissement' en vue d'atteindre les 175 heures de vol. En attendant, autant se faire lâcher sur DR 400 !
Nouveau départ et retour en région PACA après 4 ans d'absence pour découvrir l'Evektor SportStar, passer la variante EFIS sur son avionique 'Glass Cockpit' et cocher la case de la navigation de 300NM, étape clef du mûrissement.
La voltige ! Depuis quelques temps, l'idée me trottait en tête. C'est maintenant chose faite : je suis inscrit pour entamer la formation FCL800 sur Cap 10. Une manière d'allier le très utile au très agréable.
La saison 12 regroupe l'ensemble des vols effectué comme passager ou pilote de passage dans différentes régions au cours des différentes saisons.
Le vol de nuit est une qualification incontournable pour qui envisage de poursuivre vers un CPL, la licence de pilote professionnel. J'ai jeté mon dévolu sur Cannes et un PA28 pour apprendre à voler en pleine nuit aéronautique !
Un tour de France en avion est une expérience extraordinaire qui permet de monter rapidement ses heures de vol tout en visitant de nouvelles contrées dans des environnements aéronautiques très divers !
La formation CPL / IRME marque l'évolution du pilote privé vers le statut de pilote professionnel. J'ai choisi de franchir cette marche aussi technique que symbolique en Pologne !